Dick : Je suis dans la merde, mec. Ils me suivent.

Max : Qui ça ?

Dick : Les Penetrators.

Max : Les Penetrators ?

Dick : Ça va jusqu’en haut. Je les ai débusqués. Ils voulaient que je passe dans leur camp mais pas moi et maintenant ils veulent me tuer. […] Ils me retrouveront et ils me tueront pour que je parle jamais. Et ensuite ils détruiront tous mes dossiers comme si j’avais jamais existé. Ils peuvent le faire. Ils sont très puissants, vous savez. Ils peuvent faire en sorte que t’aies jamais existé.

 

 

Évoquer la violence de la guerre, jusqu’à la nausée. Se risquer sur le terrain de l’abus sexuel. Tel est le double propos de « Pénétrator ». Une œuvre intense, et puissamment interprétée.

Les Trois Coups .com

 

Vitry, en bonne compagnies

Télérama sortir